Contre toute attente, le nouveau modèle de la marque GMC signe son grand retour pour le plaisir de ses clients. En principe, le GMC Hummer devrait être lancé le 20 de ce mois. Mais, la tournure des derniers événements liés à l’épidémie du coronavirus à entrainer un report dans le temps du lancement. Beaucoup se demande ce que ce nouveau modèle aura à nous offrir et pourquoi les autres lancements sont aussi reportés chez le concessionnaire. La suite de cet article nous en dit long.
GMC Hummer électrique : le lancement est retardé
Le nouveau modèle portera le nom Hummer et sera vendu sous la bannière GMC tout en profitant d’un groupe motopropulseur électrique. Le concessionnaire américain a annoncé que le dévoilement tant attendu du nouveau produit ne se fera pas de sitôt. Par ailleurs, General Motors a annoncé que ce retard n’empêchera pas la commercialisation du véhicule en automne 2021.
Qu’est-ce que le GMC Hummer aura à nous offrir ?
Pour donner un avant-gout à ses clients, l’entreprise GM n’a pas hésité à dévoiler les caractéristiques du GMC Hummer électrique. Trois principales caractéristiques retiennent l’attention : une puissance de 1000 chevaux, un couple de 11 500 livres-pieds et le 0 à 60000 à l’heure (97 km/h) en seulement 3 secondes.
En effet, nous ne pouvons pas parler de moteur électrique sans évoquer la batterie. Le nouveau modèle bénéficiera certainement des batteries Ultium qui ont une capacité comprise entre 50 à 200 kilowattheures. Ces batteries seront configurées à 400 et à 800 volts pouvant permettre de récupérer 80 % de la charge en moins de 30 min. Très intéressant, n’est-ce pas ?
Les autres lancements reportés chez GM
La présentation du modèle VUS électrique Lyriq prévu pour Avril ne sera pas non plus d’actualité. Elle sera donc reportée pour une date ultérieure. La firme General Motors n’a pas donné des détails sur la date de sa commercialisation. Pour l’heure, nous allons donc rester aux aguets pour les nouvelles informations.
Optimisations techniques et usages quotidiens
Au-delà des chiffres bruts, l’intérêt d’un véhicule électrique réside dans l’efficacité de son ensemble propulsif et dans la qualité de son intégration à l’usage courant. Les enjeux passent par la gestion thermique, la densité énergétique et l’infrastructure de recharge : un système de refroidissement performant, un gestionnaire de batterie avancé et une architecture électrique optimisée améliorent le rendement global et la longévité des cellules. Sur le plan technique, la puissance de charge en kW des bornes, la compatibilité avec la recharge rapide en courant continu, ainsi que les stratégies de régénération lors du freinage influencent directement l’autonomie réelle et les cycles de vie. La modularité de la plateforme et l’efficience de l’onduleur contribuent aussi à réduire les pertes et à maximiser le rendement énergétique, tandis que des solutions comme la suspension adaptative et la calibration des trains roulants améliorent la conduite sans sacrifier l’économie d’énergie.
Du côté de l’utilisateur, l’adoption passe par un maillage cohérent des bornes publiques, une installation domestique adaptée et des outils de connectivité pour la gestion des trajets et de la recharge. Les services associés — télématique embarquée, mises à jour à distance, diagnostics et entretien prédictif — réduisent le coût total d’utilisation et augmentent la disponibilité du véhicule. Enfin, penser la transition électrique, c’est aussi intégrer des critères de durabilité : recyclage des modules, optimisation de la chaîne d’approvisionnement et réduction de l’empreinte carbone sur le cycle de vie. Pour approfondir ces aspects pratiques et techniques, voici une ressource qui complète ces perspectives : à lire sur Redracing Green.
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